• The Curse Année : 2010
    Durée : 86 min
    Réalisateur : John V. Soto
    Acteurs : Michael Dorman, Travis Fimmel, Tahyna Tozzi, Ben Mendelsohn, Jane Badler

    Le synopsis :

    Lorsque Ben intègre le lycée Saint Mary, il hérite d’une mystérieuse boite du 18e siècle laissée par son père. Alors que les morts se multiplient, Ben réalise que quelqu'un utilise la boîte pour se venger...

    Le film : ♥♥♥♥♥

    S'il ne brille ni par ses personnages caricaturaux ni par son scénario éculé (malgré l'élément vaudou) bourré de fausses pistes et d'incohérences, ce néo-slasher giallesque à la mise en scène honorable et au casting d'assez bonne qualité s'autorise des meurtres gores et bien orchestrés qui lui permette de ne pas trop démériter.

    Le Blu-ray Disc : [Blu-ray] The Curse (Needle)

    Format vidéo Pistes sonores Sous-titres
    1080i25 (AVC) / [1.77] - Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
    - Français (VFF) DTS-HD Master Audio 5.1
    Français

    • Image : Un transfert HD quasiment parfait (de l'aliasing par-ci par-là) avec des détails solides, des couleurs intenses, des contrastes robustes et des noirs profonds.
    • Audio : Des pistes sonores riches en effets surround et en basses fréquences qui permettent à la boite vaudou de créer un emprisonnement sonore envahissant à souhait et habilement immersif.

    Région Éditeur Date de sortie
    B (France) M6 Vidéo 03 avril 2013


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  • Demain, quand la guerre a commence Année : 2010
    Durée : 104 min
    Réalisateur : Stuart Beattie
    Acteurs : Caitlin Stasey, Rachel Hurd-Wood, Lincoln Lewis, Deniz Akdeniz, Phoebe Tonkin

    Le synopsis :

    Un groupe d’adolescents partis en camping découvrent à leur retour que leur pays a été envahi par une armée étrangère. Isolés, ils décident de combattre cet ennemi. Mal équipés, ils vont affronter l’envahisseur avec courage et ténacité...

    Le film : ♥♥♥♥♥

    Adapté du premier tome (il y en a sept) de la saga littéraire éponyme de l'australien John Marsden, "Demain, quand la guerre a commencé" est un teen-movie qui met en place les bases d'un scénario insuffisamment travaillé (de trop nombreux éléments sont survolés) et donne vie aux héros, certes caricaturaux, mais bien développés et attachants du best-seller à l'aide d'une mise en scène de qualité et d'acteurs clairement impliqués.

    Pourtant, s'il parviendra à séduire les 10-16 ans, les autres auront du mal à adhérer au concept; la faute à des scènes de guerre gentillettes toutes plus improbables les unes que les autres (une mention spéciale pour la grotesque scène finale) et au total manque de crédibilité et/ou de réalisme de la trame scénaristique (de tout en fait !).

    Si suite il y a (la série a du potentiel), il faudra absolument que les scénaristes travaillent sur la vraisemblance de leur script pour attirer un public plus vaste que les adolescents !

    Le Blu-ray Disc : [Blu-ray] Demain, quand la guerre a commencé

    Format vidéo Pistes sonores Sous-titres
    1080p24 (AVC) / [2.35] - Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
    - Français (VFF) DTS-HD Master Audio 5.1
    Français

    • Image : Un transfert HD d'une grande clarté et d'une belle précision dont la finesse des détails, la chouette palette colorimétrique, la solidité des contrastes et la lisibilité des noirs sont plus qu'appréciables.
    • Audio : Des pistes sonores généreuses en effets dont la superbe répartition des sons dans l'espace acoustique est enveloppante à souhait, mais une dynamique plus véhémente n'aurait pas fait de mal.

    Région Éditeur Date de sortie
    B (France) Metropolitan Vidéo 19 novembre 2012


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  • Crawlspace Année : 2012
    Durée : 87 min
    Réalisateur : Justin Dix
    Acteurs : Amber Clayton, Ditch Davey, Eddie Baroo

    Le synopsis :

    Une équipe de soldats d’élite est envoyée en mission pour extraire les scientifiques d’une base militaire attaquée par une force inconnue. Ils découvrent rapidement que le laboratoire de la base s’adonnait à de sinistres expériences qui ont mal tourné. Eve, mystérieuse survivante dépourvue de mémoire, semble être à la fois le fruit de ces expériences et le plus grand danger qui les menace...

    Le film : ♥♥♥♥♥

    Quelque part entre l’horreur et la science-fiction, "Crawlspace" est une très honnête petite production bourrée de références bien senties ("Aliens", "Doom", "La Mutante", "Resident Evil") et d'ambitions que l'on doit aux producteurs de "Wolf Creek", qui propose un huit clos oppressant à l'ambiance poisseuse, aux scènes gores belliqueuses, à l'action soutenue et au scénario qui aime surprendre même s'il n'est pas avare en clichés. Voilà donc un divertissement fort sympathique.

    Le Blu-ray Disc : [Blu-ray] Crawlspace

    Format vidéo Pistes sonores Sous-titres
    1080p24 (AVC) / [2.40] - Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
    - Français (VFF) DTS-HD Master Audio 5.1
    Français imposés sur la VO


    • Image : Malgré de rares baisses de définition, ce transfert HD est une réjouissance de presque tous les instants alors que le film se déroule à 95% dans des lieux cloisonnés et sombres. Les détails sont abondants, les couleurs sont belles (la photographie est remarquable), les contrastes sont riches, les noirs sont profonds et le grain est absent. C'est du beau travail !
    • Audio : Des pistes sonores réussies grâce à une spatialisation minutieuse du moindre petit bruit, à une dynamique avantageuse, à des basses opportunes et à des effets surrounds surprenants. C'est idéal dans le genre !

    Région Éditeur Date de sortie
    B (France) Pathé 03 avril 2013


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  • Bait 3DBait (Shark) de Kimble Rendall :

    Le synopsis :

    Alors qu'un Tsunami vient de frapper, un groupe d'individus se retrouve piégé dans un supermarché inondé … et à présent occupé par deux requins blancs !

    Le film : ♥♥♥♥♥

    Ce huis clos horrifique est une série B de luxe qui n'évite ni les clichés ni la prévisibilité d'un scénario simpliste, mais l'exploitation judicieuse de l'unité de lieu, le développement inattendu des individus piégés, les attaques brutales et gores de requins qui font vraiment froid dans le dos, ainsi que les SFX souvent solides (les animatroniques sont impressionnantes alors que certains CGI sont trop visibles comme l'affreux plan final) qui leur donnent vie en font un shark movie jouissif et effrayant au quota horrifique plus que respecté.

    Le Blu-ray Disc : [Blu-ray 3D] Bait

    - Format vidéo : 1080p AVC (2D) MVC (3D) [1.78].
    - Pistes sonores : Anglais Dolby TrueHD 7.1.
    - Sous-titres : Anglais pour malentendants et Espagnol.
    • Image : Un transfert HD haut de gamme net et lumineux dont la définition, le piqué, les couleurs, les contrastes et les noirs ont un superbe rendu.
    • Audio : Une piste sonore HD très immersive (la chute permanente des gouttes d'eau dans le magasin), dynamique et puissante (le tsunami) qui parvient à recréer l'environnement sonore avec une précision déconcertante sans jamais masquer les dialogues et la musique.

    La 3D : [Blu-ray 3D] Bait

    Cette 3D aux couleurs fantastiques et à la luminosité jamais entravée mélange conversion en post-production et captation native pour un résultat souvent impressionnant (seul le rendu de deux-trois plans faisant intervenir des CGI est discutable) et à la diaphonie minime. Le sentiment de profondeur est constant (que ce soit dans la voiture au sous-sol ou sur les étagères du magasin), le volume des éléments est perceptible, les débordements de l'eau donnent l'impression de se retrouver dans un aquarium géant et les nombreux jaillissements sont aussi funs que surprenants (des membres arrachés, une paire de lunettes, le saut d'un requin, un pistolet braqué vers le spectateur, les ardillons d'un taser et j'en passe). Voilà donc une belle 3D démonstrative.

    Blu-ray Disc Région A Canadien.
    Éditeur : Anchor Bay Entertainment.

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  • Happy Feet 2 Happy Feet 2 de George Miller:

    Piégé par un iceberg géant qui menace la survie de toute la tribu, un jeune manchot se détourne de son père pour reporter son affection sur un exubérant gourou...

    Ce récit initiatique est une suite bien moyenne saturée de morales vite écoeurantes (l'ode à la solidarité et à l'élan collectif) et plombée par un scénario inintéressant qui part dans tous les sens et par une playlist plus crispante qu'autre chose (les reprises manquent de swingues et passent par exemple de Queen à Ozone sans cohérence). Néanmoins, quelques passages spectaculaires (la poursuite avec le lion de mer ou encore l'attaque des skuas) et les séquences hilarantes avec le duo de krills ne laisseront pas le public de glace à l'inverse du reste. Une déception qui devrait quand même plaire aux enfants mais qui ne contentera vraiment pas les parents.

    *****
    Blu-ray Disc Région B Français.
    Éditeur: Warner Bros.

    - Pistes sonores: Anglais DTS-HD Master Audio 5.1; Français (VFF), Allemand, Néerlandais, Italien, Portugais et Castillan Dolby Digital 5.1 (3D) + Mandarin, Cantonais, Thaïlandais, Turque, Coréen, Hébreu, Flamand et Polonais Dolby Digital 5.1 (2D).
    - Sous-titres: Français, Anglais, Allemand, Néerlandais et Italien. Anglais et Allemand pour malentendants.

    Bonus à ne surtout pas manquer:
    Le Blu-ray Disc propose
    un court-métrage musical de 03 minutes des Looney Tunes Titi et Grosminet (Z'ai cru voir un rominet) dans une 3D très convaincante.

    Critique support
    :
    BBBBB
    -Image: Un transfert HD absolument renversant au piqué de rêve, à la définition idyllique, aux blancs immaculés, aux couleurs festives et aux contrastes solides.
    -Audio: Si la VO HD est bien équilibrée, bien spatialisée et pêchue, les autres pistes sonores paraissent fades en comparaison avec une dynamique bien moins poussée et une richesse des effets plus pauvre.

    Qualité de la 3D
    :
    [Blu-ray 3D] Happy Feet 2
    Une 3D toute en profondeur avec très peu de débordements (quelques secondes avec les krills) et aucun effets de jaillissement (sauf lors de l'excellent générique de fin où les bulles envahissent le salon) dont de rares plans offrent des objets/personnages (toujours bien détachés) très éloignés de l'écran, mais le reste du temps l'omniprésence de blanc ne permet vraiment pas à la profondeur de champ de s'exprimer correctement. Autre point problématique dû au blanc, le ghosting (plus ou moins visible) est omniprésent.





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