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Par le loup celeste le 26 Septembre 2018 à 18:10
Nationalité : Américain
Genre : Drame, Thriller
Année : 2017
Durée : 121 min
Réalisateur : Ric Roman Waugh
Acteurs : Nikolaj Coster-Waldau, Omari Hardwick, Lake Bell, Emory Cohen, Jon Bernthal
Compositeur : Laurent Perez Del Mar
Provenance : France
Éditeur : Orange Studio
Date de sortie : 06 février 2018
Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.40
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 5.1 (et 2.0), Français DTS-HD MA 5.1 (et 2.0)
Sous-titres : Français imposés sur la VO, Français pour malentendants
Jacob Harlon est un hommes d’affaires à succès et un père de famille épanoui jusqu’au jour où il tue son meilleur ami dans un accident de la route après une soirée trop arrosée. Envoyé dans une prison de haute sécurité, il doit se soumettre aux rites de passage et devient Money, un gangster violent et sans pitié. À sa sortie, surveillé par la police, ses anciens codétenus l’obligent à commettre un dernier crime...
Avis du loup celeste
S'il n'évite pas les clichés du genre, ce thriller carcéral filmé au plus près des acteurs (un casting solide) ne manque pas d'éclairs de violence. Brutal et tragique, ce drame qui prend le temps de construire un personnage complexe (Jacob Harlon) à partir d'un récit captivant combinant passé et présent, dessine la trajectoire funeste d'un homme ordinaire saisi dans un engrenage infernal pour une question de survie. Une pépite à découvrir toutes affaires cessantes !
Avis de WolfWife
Au cœur d'un univers carcéral fort violent, cet intense drame à la fatalité réaliste dépeint la transformation d'un monsieur tout le monde prêt à tout pour protéger sa famille. L'histoire est poignante, la tension constante et le jeu d'acteur exceptionnel de charisme. Brillant !
(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode image SDR ISF Expert pièce sombre)
Très lumineuses (que ce soit à l'extérieur de jour, dans les ruelles de nuit ou encore dans les couloirs sombres de la prison), richement détaillées, particulièrement précises, chaudement colorées (l'étalonnage des scènes nocturnes est magnifique), parfaitement contrastées et sans défaut de compression, les images délivrées par ce transfert HD sont tout simplement admirables.
(Condition de test : Config 7.1.4 sur ampli HC 11.2 avec post-traitement DTS Neural:X pour la VO et la VF)
Une plongée réaliste dans l'ambiance lourde de cette descente aux enfers. En VO comme en VF (un chouïa moins ardente), le mixage profite d'une dynamique élevée, de voix claires, d'une spatialisation large, d'ambiances enveloppantes largement répandues sur la scène arrière, d'un score grave singulièrement ample et de basses bien senties lorsque le récit l'impose.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C8 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
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Rédacteurs
le loup celeste & WolfWife
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Par le loup celeste le 26 Septembre 2018 à 18:00
Titre original : Harry Potter and the Goblet of Fire
Nationalité : Américain, Britannique
Genre : Fantastique, Aventure
Année : 2005
Durée : 157 min
Réalisateur : Mike Newell
Acteurs : Daniel Radcliffe, Rupert Grint, Emma Watson, Brendan Gleeson, Michael Gambon, Robert Pattinson, Clémence Poésy
Compositeur : Patrick Doyle
Provenance : France
Éditeur : Warner Bros.
Date de sortie : 29 novembre 2017
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - HDR10 / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 10 bit - Encodage HEVC - Format 2.40 - 2K DI
Luminance HDR : De 0.005 à 4000 nits
Bande-son : Anglais DTS:X (core DTS-HD MA 7.1), Français DTS-HD MA 5.1, Anglais Audiodescription
Sous-titres : Français, Anglais pour malentendants
Lorsque son nom sort de la Coupe de Feu, Harry Potter devient l’un des concurrents du prestigieux Tournoi des Trois Sorciers, une lutte exténuante pour la gloire qui voit s’affronter trois Écoles de Sorcellerie. Mais comme ce n’est pas Harry qui a soumis sa candidature, qui a bien pu le faire ?
Avis du loup celeste
Porté par la réalisation à la fois fluide (l'épreuve du dragon) et inquiétante (tout ce qui tourne autour de Lord V) de Mike Newell, cet épisode (LE blockbuster de la saga cinématographique) à l'ambiance plus sombre et à la richesse humaine plus grande que ses aînés, enchaîne sans temps morts séquences de suspense et d'action avec des effets spéciaux surnaturels jusqu'à l'affrontement final d'une puissance exceptionnelle. Tout n'est cependant pas parfait car les acteurs ne sont pas aussi bien dirigés que par le passé (cf. Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban). Se voulant plus adulte et profonde sans pour autant se défaire de quelques traits d'humour, la série a maintenant trouvé son rythme de croisière (le passage à la maturité) en osant sabrer dans le texte de J.K. Rowling.
Avis de WolfWife
Dans ce 4e volet, le plus spectaculaire de la saga, Harry Potter devient un vrai héros et quitte l'enfance. Et la réussite est totale avec des effets spéciaux et décors fabuleux, une ambiance menaçante au côté sombre renforcé, et un affrontement final intense. Passionnant !
(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode image HDR10 technicolor Expert avec activation du Mappage ton dynamique)
Sombres par nature, les images de ce 4K Ultra HD sont un peu plus assombries encore même si les éclairages sont plus prononcés, et usent d'une palette colorimétrique plus désaturée, presque déséchée parfois, ce qui sied parfaitement à l'atmosphère de cet opus. Les noirs sont plus profonds (mais non moins détaillés) et les ombres n'hésitent plus à se répandre généreusement dans les plans, les couleurs sont plus froides et globalement moins intenses même s'il y a des exceptions (la flamme bleue de la Coupe de Feu), les sources lumineuses sont plus éclatantes (la lumière aveuglante qui ouvre la coupe du monde de Quidditch, les sorts lancés par les baguettes magiques) et les contrastes judicieusement réajustés, la définition ne faiblit plus (la douceur du transfert HD n'est plus) et les détails sont plus nets (le labyrinthe de haies, le visage abîmé de Alastor Maugrey), et les traces de compression du Blu-ray (les scènes en basse lumière) sont un lointain souvenir.
(Condition de test : Config 7.1.4 sur ampli HC 11.2 en mode d'écoute DTS:X pour la VO et avec post-traitement DTS Neural:X pour la VF)
Des pistes sonores très engagées qui misent à fond sur le côté spectaculaire et qui se différencient de celles présentes sur le Blu-ray par une précision accrue (et une vraie dynamique pour la VF). La spatialisation est homogène, toutes les enceintes débordent de vie avec des effets tourbillonnants de partout et des ambiances environnementales palpables, les dialogues sont toujours clairs et les basses assurent lorsque l'action le réclame. Quant à la scène aérienne exclusive à VO, elle n'est pas en reste et assure le spectacle à intervalles réguliers (les joueurs de Quidditch, des feux d'artifice, la pluie, le tonnerre, la pression en plongée sous-marine, etc.).------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C8 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
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Rédacteurs
le loup celeste & WolfWife
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Par le loup celeste le 24 Septembre 2018 à 15:54
Titre original : Clear and Present Danger
Nationalité : Américain
Genre : Espionnage, Thriller, Action
Année : 1994
Durée : 141 min
Réalisateur : Phillip Noyce
Acteurs : Harrison Ford, Willem Dafoe, Joaquim de Almeida, Henry Czerny, Harris Yulin
Compositeur : James Horner
Provenance : États-Unis
Éditeur : Paramount Pictures
Date de sortie : 21 août 2018
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - Dolby Vision / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 12 bit - Encodage HEVC - Format 2.35 - 4K DI
Luminance HDR : Adaptée aux caractéristiques techniques spécifiques du dispositif d'affichage utilisé
Bande-son : Anglais Dolby TrueHD 5.1, Français Dolby Digital 5.1, Anglais Audiodescription
Sous-titres : Anglais, Français, Anglais pour malentendants
Jack Ryan est chargé d’élucider le meurtre d’un ami du Président, homme d’affaires impliqué dans le trafic de drogues. Risquant sa carrière pour faire éclater la vérité, Ryan va devoir se battre sur tous les fronts, y compris dans les couloirs de la Maison Blanche...
S'il n'égale pas le suspense étouffant de À la poursuite d'Octobre Rouge, ce thriller d'espionnage toujours adapté d'un roman de Tom Clancy reste un très bon divertissement, peu tendre qui plus est avec l'administration américaine (les magouilles politiciennes de la Maison Blanche). Et qu'avons-nous donc au programme ? Une mise en scène efficace, un scénario prenant (qui revient sur le travail de fond des agences d'espionnage), un rythme soutenu, des acteurs au top (Harrison Ford y est très élégant) et des scènes d'action pêchues.
(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode image Dolby Vision Accueil cinéma)
Toutes les composantes de l'image ont été améliorées ici, et ce n'est finalement que la photographie de Donald McAlpine qui empêche ce transfert UHD HDR de briller (ce n'est pas spécialement « beau » si vous préférez). Nous nous retrouvons d'ailleurs avec un rendu assez similaire à celui de Jeux de guerre si ce n'est une structure granuleuse moins prégnante (un tournage 35mm). Et si certains plans sont plus doux que d'autres avec quelques défauts de mise au point (l'usage d'objectifs anamorphiques), l'amélioration est déjà sensible sur les détails qui sont nettement plus distincts (les pores de la peau, les plis des vêtements, le mobilier des bureaux de la CIA, les feuillages de la jungle). Pour le reste, la gamme de couleurs est plus large (ce sont les primaires qui en bénéficient le plus et la chaleur du climat tropical en Colombie), les contrastes naturellement modérés sont un peu plus marqués (l'éclat nouveau des blancs), les éclairages sont plus subtilement brillants (la lumière naturelle du jour ou artificielle des bureaux) et les scènes sombres sont mieux délimitées grâce à des noirs plus riches.
(Condition de test : Config 7.1.4 sur ampli HC 11.2 avec post-traitement Dolby Surround pour la VO et la VF)
Un mixage solide qui se caractérise par une clarté exemplaire, une dynamique à-propos, des voix cohérentes qui dominent la scène frontale, une spatialisation réaliste délivrant des effets percutants (cf. les fusillades et plus précisément l'embuscade à Bogota) et ambiances atmosphériques enveloppantes sur tous les canaux, et un score (où James Horner ne cesse d'auto-citer son propre travail comme 48 heures et Aliens) fidèlement retranscrit. Cependant, les enceintes surround et le canal LFE auraient pu être plus utilisées encore. Plus puissante en apparence (elle est juste mixée plus haut), la VF est surtout moins immersive car moins précise dans le positionnement de ses objets sonores.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C8 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
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Rédacteur
le loup celeste
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Par jedi poodou le 24 Septembre 2018 à 08:46
Nationalité : Américain
Genre : Fantastique
Année : 2017
Durée : 135 min
Réalisateur : Alexander Payne
Acteurs : Matt Damon, Christoph Waltz, Hong Chau, Kristen Wiig
Compositeur : Rolfe Kent
Provenance : France
Éditeur : Paramount Pictures
Date de sortie : 22 mai 2018
Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.39
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 7.1, Français Dolby Digital 5.1
Sous-titres : Français, Anglais
Dans un futur proche, des scientifiques réussissent à développer une technique permettant de réduire les hommes à la taille de 12 cm, pour pallier la surpopulation galopante, le gaspillage des ressources naturelles et assurer un avenir à l’humanité avant qu’il ne soit trop tard. Tenté par l’expérience, Paul Safranek et sa femme se rendent à Leisureland, la structure qui accueille « les rétrécis » dans leur nouvelle vie. Mais tout ne se passe pas comme prévu dans les projets de Paul qui se retrouve seul face à sa nouvelle vie de « petit homme », c’est alors qu’il se pose beaucoup de questions sur son propre avenir et l’avenir de l’humanité...
Si le thème du présent film aurait pu être fascinant, voire vertigineux par les enjeux qu’il énumère, protection de l’environnement, haro sur le gaspillage des ressources, lutte contre la surpopulation galopante, recherche d’une vie meilleure, cette comédie (pas trop drôle cependant) fantastique n’atteint pas tout à fait son but. La faute à des sous-intrigues pas toujours cohérentes, à l'hystérie de certains protagonistes assez embarrassante et énervante, et à un message écolo-bobo façon bitnik des années 70 parfois rabâché. On se rend compte d’ailleurs que le transfert de la taille normale d’un homme à un homme de 12 cm, n’occulte en rien les problèmes de classes sociales, de niveau de vie et de tous les aléas de la vie. L’idée était géniale, mais le ton peut-être trop léger parfois du film fait que la sauce ne prend pas souvent. Je trouve finalement ce film assez déprimant comme tous les films annonçant la fin du monde ces dernières années. Le jeu détaché de Matt Damon, pas mauvais en soi, n’aide pas vraiment à se sentir concerné. Quant à l’actrice vietnamienne (ou chinoise ?) qui l’accompagne, à l’hystérie parfois gênante, elle est quelquefois vraiment limite. Un film pas tout à fait abouti qui aurait pu être traité de façon différente, peut-être de façon plus sérieuse finalement.
(Test réalisé sur un écran 2160p)
L’image, si elle est belle dans l’ensemble, souffre de quelques faiblesses aux niveaux des couleurs pas toujours saturées comme il faut. Le piqué est correct mais aurait pu être meilleur.
(Test effectué en VO 5.1 DTS-HD Master Audio sous-titrée français)
Peu d’occasion de voir les enceintes sollicitées sur tous les canaux, les dialogues sont cependant parfaitement clairs et quelques ambiances bien amenées. Musique qui se déploie un peu plus sur les enceintes.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Sony UBP-X800
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
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Rédacteur
jedi poodou
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Par jedi poodou le 23 Septembre 2018 à 11:08
Titre original : The Bridge on the River Kwai
Nationalité : Américain, Britannique
Genre : Guerre
Année : 1957
Durée : 161 min
Réalisateur : David Lean
Acteurs : William Holden, Alec Guiness, Jack Hawkins, Sessue Hayakawa, James Donald, Anne Sears
Compositeurs : Malcolm Arnold, Mitch Miller
Provenance : France
Éditeur : Sony Pictures
Date de sortie : 25 octobre 2017
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - HDR10 / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 10 bit - Encodage HEVC - Format 2.55 - 4K DI
Bande-son : Anglais Dolby Atmos (core Dolby TrueHD 7.1), Anglais DTS-HD MA 5.1, Français Dolby Digital 5.1
Sous-titres : Anglais, Français
En 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale, des officiers et soldats anglais sont conduits dans un camp de prisonniers japonais au cœur de la jungle thaïlandaise. S’engage alors un bras de fer entre le Colonel japonais Saito, commandant le camp, et le Colonel Nicholson, commandant le bataillon de soldats anglais, sur leur conception du traitement des prisonniers en temps de guerre. Après avoir subi les pires sévices pour refus d’obtempérer, le Colonel Nicholson obtient gain de cause en proposant au colonel Saito de prendre en charge la construction d’un pont qui enjambe la rivière Kwaï près du camp. Mais un prisonnier américain qui s’était échappé du camp et sauvé in extremis, est renvoyé avec un commando britannique pour faire sauter le pont...
Grand classique du cinéma de patrimoine, Le Pont de la Rivière Kwaï est un film qui a toujours bercé mon parcours de cinéphile. L’ayant vu évidemment de nombreuses fois, je n’ai aucune surprise sur l’intrigue et le déroulé du film, mais le principe d’un classique du cinéma, c’est justement d’être intemporel. Ce film de guerre plus cérébral que parcouru de morceaux de bravoure guerrier, montre dans ce face-à-face entre 2 hommes que tout oppose, à la fois une certaine grandeur de l’homme, mais aussi la folie parfois qui le guide pour s’affronter dans des guerres fratricides aussi absurdes qu’incompréhensibles. Aux frontières de la folie, l’obstination de certains hommes pour des principes parfois incongrus et un orgueil démesuré, conduit vers l’inéluctable. Entre le sacrifice de quelques hommes pour mettre un terme à cette folie et le sacrifice de nombreux autres hommes pour construire ce pont, le sort de ce dernier était scellé pour la postérité. Un grand film, de grands acteurs habités, des décors grandioses, profitons encore de ce chef-d’œuvre qui restera dans nos mémoires pour toujours.
(Test réalisé sur un écran 2160p non compatible HDR)
Ce film ayant un peu plus de 60 ans, on bénéficie d’une bonne copie pour en profiter. Mais je note quand même beaucoup de surexposition dans les blancs, des noirs parfois bouchés, et des couleurs parfois trop ou pas assez saturées. Le générique (non restauré à mon avis) du début du film durant les quatre premières minutes est extrêmement bruité et instable, alors que curieusement le lettrage jaune du générique est parfaitement net et stable. Je ne sais pas si on aurait pu faire mieux pour la restauration de ce film en 4K. C’est suffisant cependant pour passer une bonne séance.
(Test effectué en VF 5.1 Dolby Digital)
La piste VF est excellente, même s’il n’y a aucun pic de dynamique à faire péter les murs, ce n’est pas l’ambition du film. Les dialogues et doublages d’origine sont très clairs, la musique célèbre est assez bien spatialisée et les ambiances aussi bien de la jungle que les quelques scènes de guerre sont traitées avec soin.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Sony UBP-X800
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
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Rédacteur
jedi poodou
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