♦ Titre original : "Alice Through the Looking Glass" ♦ Nationalité : Américain, Britannique ♦ Genre : Aventure, Fantastique ♦ Année : 2016 ♦ Durée : 112 min ♦ Réalisateur : James Bobin ♦ Acteurs : Mia Wasikowska, Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Sacha Baron Cohen, Anne Hathaway
À l’instar de son père, Alice Kingsleigh a sillonné mers et océans durant des années avant de regagner l’Angleterre. De retour à Londres, poursuivant un papillon bien connu, elle passe à travers un miroir magique qui la ramène tout droit au Pays des Merveilles. Là-bas, elle retrouve ses amis le Lapin Blanc, Absolem, le Chat du Cheshire et le Chapelier Fou. Mais celui-ci n’est plus que l’ombre de lui-même : il a perdu sa fantaisie et sa folie. Face à cette situation, Mirana, la Reine Blanche confie à Alice une mission : emprunter la Chronosphère afin de remonter dans le passé. Ce n’est qu’au prix de cette quête périlleuse, de cette course contre le temps, qu’Alice pourra sauver le Chapelier avant qu’il ne soit trop tard...
Avis du loup celeste : Cette seconde aventure dans le monde imaginaire psychédélique d'Alice, qui fait judicieusement évoluer son héroïne et dévoile le mémorable personnage du Temps, est un rêve éveillé familial aux effets spéciaux merveilleux.
• Région : B (France) • Éditeur : Walt Disney France • Date de sortie : 19 octobre 2016 • Format vidéo : 1920x1080 / 24p - Encodage MVC - Format 1.85 - 3D convertie • Pistes sonores : Anglais DTS-HD MA 7.1, Français DTS-HD HR 5.1 • Sous-titres : Français, Anglais pour malentendants
Qualité vidéo : Une image très colorée et joliment contrastée qui fourmille de détails et de textures. Le spectacle visuel est donc assuré, surtout que l'encodage est parfait. Qualité audio : Un mixage d'une grande précision qui retranscrit à merveille les nombreux effets et ambiances (la salle des montres), grâce à une spatialisation enjouée et une dynamique percutante. Les bruitages sont plus écrasés sur la VF. Qualité relief : Une fenêtre de profondeur d'une insolente intensité, des détachements exceptionnels, des débordements constants (décors et personnages) et quelques jaillissements très immersifs (les trainées de la Chronosphère).
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