[Test Blu-ray] Leatherface
Nationalité : Américain Genre : Horreur Année : 2017 Durée : 88 min Réalisateurs : Alexandre Bustillo, Julien Maury Acteurs : Sam Strike, Vanessa Grasse, Sam Coleman, Stephen Dorff, Lili Taylor, Finn Jones Provenance : France Éditeur : Metropolitan Vidéo Date de sortie : 02 janvier 2018 Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.40 Bande-son : Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 5.1 Sous-titres : Français La famille Sawyer sème la terreur au Texas. Leur plus jeune enfant est envoyé en hôpital psychiatrique après avoir reçu comme cadeau d’anniversaire une tronçonneuse qu’il essaya dès l’ouverture du paquet sur une des proies de la famille. Des années plus tard, le garçon s’échappe de l’hôpital psychiatrique où il était interné avec quelques patients déviants et une infirmière prise en otage. Semant la terreur sur les routes, ils sont poursuivis par un shérif dont la fille a été victime de la famille tronçonneuse. Qui parmi les criminels deviendra le terrifiant « Leatherface » ? Ce road-movie sanglant et déviant qui revient sur les origines du tueur de Massacre à la tronçonneuse, est un film d'horreur au cadre soigné, à la direction d'acteurs impeccable, aux scènes chocs et à la violence frontale dérangeante, qui tente d'offrir un portrait empathique de « Leatherface » au travers d'une intrigue malencontreusement un peu vaine où les événements s’enchaînent à vitesse grand V. Maîtrisé de A à Z malgré de nombreux passages nocturnes, cet époustouflant transfert HD (à la compression en titane) délivre des images immaculées où le très bon niveau de détails, la palette colorimétrique léchée aux teintes jaunes-orangées, les contrastes éclatants et la densité des noirs, rendent justice au parti pris esthétique délicatement patiné de la photographie. Une fois le volume un peu plus poussé, ces deux pistes sonores équilibrées et étonnamment peu démonstratives sauront vous convaincre par le soin apporté à la spatialisation, l'enveloppement créé par les ambiances, la fougue des effets (la tronçonneuse), l'ouverture du score et l'exploitation jamais gratuite des basses. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ |