[Test 4K Ultra HD] Sicario
Nationalité : Américain Genre : Polar, Thriller Année : 2015 Durée : 121 min Réalisateur : Denis Villeneuve Acteurs : Emily Blunt, Benicio Del Toro, Josh Brolin, Daniel Kaluuya, Victor Garber Provenance : États-Unis Éditeur : Lionsgate Films Date de sortie : 1er mars 2016 Format vidéo : 3840x2160 / 24p - HDR10 / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 10 bit - Encodage HEVC - Format 2.40 - 4K DI Luminance HDR : De 0.005 à 4000 nits Bande-son : Anglais Dolby Atmos (Dolby TrueHD 7.1) Sous-titres : Anglais, Anglais pour malentendants La zone frontalière entre les États-Unis et le Mexique est devenue un territoire de non-droit. Kate, une jeune recrue idéaliste du FBI, y est enrôlée pour aider un groupe d’intervention d’élite dirigé par un agent du gouvernement dans la lutte contre le trafic de drogues. Menée par un consultant énigmatique, l’équipe se lance dans un périple clandestin, obligeant Kate à remettre en question ses convictions pour pouvoir survivre... Avis du loup celeste Un narco-polar crépusculaire à la tension suffocante armé d'une mise en scène racée, porté par une femme forte et saupoudré de scènes d'action virtuoses. Avis de WolfWife Un thriller/polar noir qui prend aux tripes autant par ses personnages complexes que par sa mise en scène impeccable. Ce qui était vrai sur le Blu-ray l'est toujours sur cet Ultra HD Blu-ray, nous avons donc le droit à des détails au cordeau, des arrière-plans hyper-lisibles, des couleurs parfaitement nuancées, des contrastes solides et des noirs abyssaux. Il y a néanmoins quelques différences frappantes entre ces deux versions dont quelques saccades absentes du transfert HD. Mais ne vous y trompez pas, à part ce petit couac, c'est bien les images délivrées en UHD-HDR qui remportent la mise. Les détails et textures sont beaucoup plus précis (les traits faciaux, les fibres des tenus, les rideaux dans l'appartement de Kate, l'usure des bâtisses), la palette colorimétrique étendue gagne en nuances (l'ambiance jaunâtre de l’œuvre se voit octroyer de nouvelles teintes beiges-ocres et la séquence en vision nocturne est plus saturée) et apporte du peps aux arrière-plans (cf les scènes de bar), et les contrastes sont encore plus tranchés (les scènes très sombres en profitent bien) avec des éclairages plus dynamiques (les sources lumineuses apparaissent comme beaucoup plus réalistes) et des noirs incroyablement insondables. Élément marquant qui prouve la meilleure gestion des contre-jours, l'intérieur des Chevrolet Tahoe est à présent visible de la lunette arrière. Une image sonore ample et immersive à la frontale bien large, aux surrounds tenaces, aux basses vrombissantes et au score viscéral. Du côté des effets de hauteur, c'est bien l'explosion inaugurale qui impressionne le plus, car les débris pleuvent littéralement du plafond. Mais sans en atteindre la même sensation, il y a plein d'autres moments où la scène aérienne se fait entendre (les hélicoptères, les résonances dans les tunnels, etc.). ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ |