[Test 4K Ultra HD] Batman : Gotham by Gaslight
Nationalité : Américain Genre : Animation, Polar, Action Année : 2018 Durée : 78 min Réalisateur : Sam Liu Doubleurs : Bruce Greenwood, Jennifer Carpenter, Scott Patterson, Anthony Head, Yuri Lowenthal (VO) Provenance : États-Unis Éditeur : Warner Bros. Date de sortie : 06 février 2018 Format vidéo : 3840x2160 / 24p - HDR10 / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 10 bit - Encodage HEVC - Format 1.78 - 2K DI Luminance HDR : De 0.005 à 4000 nits Bande-son : Anglais DTS-HD MA 5.1, Français Dolby Digital 5.1 Sous-titres : Français, Anglais pour malentendants Dans une version alternative et victorienne de Gotham City, Batman initie sa guerre contre le crime alors qu’il enquête sur une nouvelle série de meurtres commis par Jack l’Éventreur. C'est au XIXe siècle, dans une Gotham City d'inspiration victorienne, que cette nouvelle aventure animée de Batman nous plonge, afin de suivre l'enquête menée par son justicier masqué pour démasquer Jack l’Éventreur. Des personnages ré-imaginés à l'intrigue bien menée, en passant par un ton adulte et un sous-texte politico-social pertinent, il n'y a finalement que la technique (dessins peu détaillés et animation figée) qui fait de l'ombre à ce polar palpitant issu du DC Universe Animated Original Movies. Même si la résolution est accrue il n'y a pas plus de détails qu'en HD, il faut dire aussi que le style minimaliste de l'animation ne s'y prête guère, mais les couleurs sont un peu plus vives (notamment les teintes jaunes-oranges), les contrastes un peu plus prononcés, les ombres nocturnes plus marquées, la luminosité un tout petit peu plus ardente (les lampadaires dans les rues, les flammes lors de la conclusion) et la compression libre de tout artefacts (le colour banding restant faisant malheureusement partie de la source). Si les canaux arrières sont régulièrement exploités (les clients du cabaret, le pas des chevaux, le fouet de Selina Kyle, la présence policière) et que les voix sont bien priorisées, l'absence des éléments technologiques propres à la série se fait ressentir par un manque certain « d'effets ». Ce n'est pas pénalisant en soi, surtout que l'univers mis en place fonctionne mieux sans, mais il manque tout de même à ce mixage un brin de folie et une once supplémentaire d'ampleur. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ |